Michel Polnareff dérape : "Allez vous faire f… !"

Michel Polnareff était-il mal luné, la nuit passée ? Le chanteur, qui a décidé de mettre sa carrière entre parenthèses depuis son retour scénique surprise et concluant en 2007, a visiblement tenu à recadrer certains de ses fans Facebook.

Si l’interprète de Lettre à France prend régulièrement le temps de répondre à ses fans, avec qui il entretient une relation privilégiée et des correspondances suivies, il ne supporte assurément pas qu’on le prenne pour une secrétaire. Un message plutôt virulent à destination de ceux qui s’indignent de son temps de réponse a donc été posté par l’homme à la tignasse bouclée afin de mettre les points sur les « i », dans la nuit du samedi 7 au dimanche 8 juillet…

« Pour ceux qui me prennent pour une standardiste, j’aimerais que vous soyez conscients que je reçois des milliers de messages par jour et je pense exprimer ma présence plutôt bien. Je ne suis pas le décisionnaire de Facebook et commence à envisager de fermer le tout, comme je l’ai fait précédemment avec le polnaweb« , menace-t-il d’abord. Il est vrai que son site officiel, Polnaweb, lancé à la fin des années 90, fermait ses portes en juin 2009 pour ne rouvrir que très partiellement quelque temps après.

« Les mêmes problèmes commencent à se pointer. Vous n’êtes pas heureux avec ma communication ? Parlez à vos élus avec lesquels vous n’en avez aucune. En ce qui concerne ceux qui viennent ici parce qu’ils ne m’aiment pas, ou ne sont pas d’accord avec ce que je dis ici sous des prétextes futiles voire même hypocrites, la salle des machines sait qui se cache sous vos pseudos« , fustige-t-il à la façon d’un capitaine qui s’adresse à ses moussaillons les plus indomptables.

Il ponctue son message d’un cri du coeur : un « ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE« , écrit en lettres capitales. Est-ce une façon de s’adresser à une partie de son public, quand bien même ce dernier se montre désobligeant, ou malveillant ? A sa décharge, il est la cible depuis plusieurs semaines de commentaires extrêmement désagréables.

Joachim Ohnona